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Ligue Communiste des Travailleurs

Section belge de la Ligue Internationale des Travailleurs -
Quatrième Internationale (LIT-QI)

« L'émancipation des travailleurs sera l'œuvre des travailleurs eux-mêmes. » K. Marx

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Amplifions la solidarité envers Pinheirinho !
Alckim l’assassin doit être dénoncé !

Dimanche 22 janvier, six heures du matin. Cette date va rester gravée dans la mémoire des activistes de tout le Brésil comme un symbole de plus de la violence du Capital contre les travailleurs pauvres. L’expulsion de Pinheirinho par 2000 soldats de la Police Militaire, ordonné par le gouverneur de l’Etat de São Paulo, M. Alckim, s’ajoute à la violente répression d’Eldorado de Carajás (Pa) et de Corumbiaria (Ro), durant lesquelles les paysans furent assassinés par les troupes envoyées par les gouvernements du PSDB (Parti de la Social-Démocratie Brésilienne).

La crise grecque approfondit la crise de l'Europe du capital

Cela a couté cher à Papandréou de prendre des allures « démocratiques ». Dans une escalade d'évènements, après son intention à la fois fausse et contestée de soumettre le deuxième plan brutal de « sauvetage » de la Troïka (Commission européenne, Banque centrale européenne et FMI) à un référendum populaire, la nouvelle réalité est que le chef de gouvernement lié au PASOK social-démocrate a dû s'en aller et que la Grèce a désormais un nouveau Premier ministre.

Avec le peuple grec contre le « plan de sauvetage » !
L'Union européenne est l'Europe du capital et de la crise !

Papandréou, le contremaître de la Troïka (la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le FMI), qui en moins de deux ans a soumis le peuple grec à cinq plans successifs d'ajustement, chacun d'eux plus brutal que le précédent, a annoncé le 2 novembre un référendum sur le deuxième « plan de sauvetage » de la Grèce, adopté quelques jours plus tôt lors du sommet européen de fin d'octobre.

25 août 2011

La lutte héroïque du peuple syrien s'intensifie, malgré la répression sanglante
Tout le soutien à la lutte du peuple syrien pour la chute du régime assassin d'Assad !

Le monde arabe est en flammes. La révolution et la contre-révolution mènent une bataille à mort : c'est le sang, la poudre et les barricades, les poings levés et les cris de liberté.

mars 2012

La guerre civile marque les étapes de la révolution

C'est un fait. Dans le cadre du processus révolutionnaire impressionnant qui secoue l'Afrique du Nord et le Moyen-Orient, la lutte des classes en Syrie a atteint son apogée : la guerre civile.

 

A bas les plans du gouvernement et des banquiers !
Une autre issue à la crise est possible !
La rue a parlé !

Voici un commentaire de la Coordination nationale de Corriente Roja
le mercredi, le 18 mai 2011
 

  Le 15 mai dernier, des dizaines de milliers de manifestants sont descendus dans la rue dans tout l'Etat espagnol, exprimant le ras-le-bol accumulé depuis le début de la crise : 40 000 à Madrid, 13 000 à Barcelone, 8 000 à Séville, 5000 à Las Palmas, 3 000 à Cordoba, 1 000 à Salamanque...
  Ces manifestations, les plus massives après la grève générale du 29 septembre, sont une bouffée d'air frais, après la vague de contre-réformes et de coupes sociales, le chômage massif, l'attaque aux pensions, la migration et la dépendance économique, le salaire qui est loin de durer jusqu'à la fin du mois. Cela montre qu'il y avait des conditions pour donner une continuité à la grève générale et les manifestations de masse et d'incorporer une proportion importante de jeunes et des classes moyennes à cette lutte.

C’est ce que disent des jeunes de la FGTB[1], mais on n’en parle pas dans les médias. Par contre, quand cinq étudiants « politiquement neutres », qui « n’y comprennent pas grand chose », disent qu’il faut absolument avoir un gouvernement, quel qu’il soit, et organisent pour cela une manifestation, l’appel est relayé tambour battant pendant une semaine sur toutes les chaînes. Cette marche finit par rassembler 30 mille personnes dans les rues de Bruxelles. Alors que chacun y va du «besoin impérieux d’un gouvernement», force est de constater que la Belgique n’est pas, comme certains pourraient le croire, laissée à l’abandon : un gouvernement « en affaires courantes » existe bel et bien et mène le travail à l’ombre.

Un entretien avec Martin Willems, permanent licencié du SETCa-BHV secteur Industrie (26 octobre 2010)

Presse Internationale : Les cinq permanents du secteur Industrie du SETCa-BHV ont été licenciés « pour faute grave ». Vos licenciements ont-ils un caractère politique, et si oui, dans quelle mesure ?

 Martin Willems: Très certainement. Il n’y a aucun doute possible là-dessus. Les faits qui nous sont reprochés sont uniquement des faits d’opinion et de communication de ces opinions au sein de l’organisation. C’est pour nos opinions et pour les avoir fait connaître, que nous avons été licenciés. C’est donc bien politique. Nous n'avons pas été licenciés pour un méfait quelconque, que ce soit malversation financière, violence, injure envers des personnes ou autre. Tous sont d'accord sur cela. Nous avons été licenciés pour nos opinions, et pour les avoir communiquées.
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